Vous êtes ici

Laguépie (Tarn-et-Garonne, Occitanie)

Situé à la confluence des départements du Tarn-et-Garonne et de l’Aveyron, Laguépie est le point de rencontre de l’Aveyron et du Viaur.  Aux XIIe et XIIIe siècles, la croisade des Albigeois n’épargna pas le village, qui fut entièrement détruit, ainsi que son château.

En 1360, suite au traité de Brétigny, Laguépie devint possession du royaume d’Angleterre jusqu’à ce que les Anglais soient chassés en 1388.

Najac (Aveyron, Occitanie)

Perché sur un promontoire dominant les gorges de l’Aveyron, le village de Najac offre aux marcheurs un patrimoine architectural très riche et des paysages verdoyants et sauvages. Les gorges y ont façonné un relief escarpé. Les pentes abruptes sont recouvertes de forêts de châtaigniers et certains versants sud portent encore les traces d’anciennes cultures en escalier.

Lamontjoie (Lot-et-Garonne, Nouvelle-Aquitaine)

Au Xe siècle, des bénédictins fondèrent un monastère sur un plateau dominant la vallée de l'Auvignon. La bastide de Lamontjoie fut par la suite construite à la fin du XIIIe siècle par Philippe IV Le Bel. Au XVIe siècle, une franchise d’impôt sur les maisons lui fut accordée par Charles IX.

Pujols (Lot-et-Garonne, Nouvelle-Aquitaine)

Le village de Pujols est perché sur une colline à 188 mètres d’altitude. Il domine la vallée du Lot au nord et la vallée du Mail au sud. Ancienne place forte médiévale du XIVe siècle, une partie des remparts s’élève encore autour du village. La tour-clocher de l’ancienne chapelle seigneuriale garde quant à elle toujours l’entrée de la cité.

Assier (Lot, Occitanie)

Située au sein du Parc Naturel Régional des Causses du Quercy, la commune d’Assier possède une double appartenance aux régions de Limargue et du Causse. Ses sols sont couverts de chênes pubescents et de pelouses sèches.

Le passé historique du village est toujours représenté par ses deux principaux monuments du XVIe siècle. Il s’agit de l’église et du château, édifiés par Galiot de Genouillac, maître d’artillerie de Louis XII et de François Ier. La construction de l’église a débuté en 1540. Elle est la seule église Renaissance du département du Lot.

Saint-Palais (Pyrénées-Atlantiques, Nouvelle-Aquitaine)

Saint-Palais est labellisée "Communes Haltes - Chemins de Compostelle en France" au regard des services, des équipements et de l'accueil que la commune propose aux cheminants, randonneurs et pèlerins". 

 

Bazas (Gironde, Nouvelle-Aquitaine)

Bazas fut un évêché dès le VIe siècle. Sa cathédrale Saint-Jean-Baptiste, qui recouvre les vestiges d’un monument du Ve siècle, fut édifiée aux XIIIe et XIVe siècles, sur le modèle des cathédrales gothiques du nord de la France. Depuis 1998, la cathédrale est inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco au titre des "Chemins de Saint-Jacques de Compostelle en France".

Condom (Gers, Occitanie)

Condom est labellisée "Communes Haltes - Chemins de Compostelle en France" au regard des services, des équipements et de l'accueil que la commune propose aux cheminants, randonneurs et pèlerins". 

 

Ancien évêché, aujourd’hui sous-préfecture et capitale de la Ténarèze, Condom peut s’enorgueillir de son passé historique riche en événements et en architecture.

Auvillar (Tarn-et-Garonne, Occitanie)

Auvillar est labellisée "Communes Haltes - Chemins de Compostelle en France" au regard des services, des équipements et de l'accueil que la commune propose aux cheminants, randonneurs et pèlerins". 

 

Auvillar est à la jonction entre les régions de Lomagne et de Gascogne. Elle constitue la dernière halte en Tarn-et-Garonne sur l'actuel itinéraire du Puy-en-Velay, entre Moissac et Lectoure. Sa situation sur un éperon rocheux entre coteaux et vallons offre un très beau panorama sur la vallée de la Garonne.

Cajarc (Lot, Occitanie)

Au Moyen-Âge, un ensemble urbain s’est structuré pour donner naissance à la cité de Cajarc, entre les rives du Lot et les falaises du causse du Quercy. Au XIIIème siècle, Cajarc était une ville riche et active qui vivait du commerce international, comme la plupart des bourgs du Quercy. Son port, établi sur la rive gauche du Lot, a influencé ce dynamisme. La guerre de Cent ans mit un terme à cette prospérité même si la ville ne fut pas directement touchée.

Pages