Saint-Palais est labellisée "Communes Haltes - Chemins de Compostelle en France" au regard des services, des équipements et de l'accueil que la commune propose aux cheminants, randonneurs et pèlerins".
Bazas fut un évêché dès le VIe siècle. Sa cathédrale Saint-Jean-Baptiste, qui recouvre les vestiges d’un monument du Ve siècle, fut édifiée aux XIIIe et XIVe siècles, sur le modèle des cathédrales gothiques du nord de la France. Depuis 1998, la cathédrale est inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco au titre des "Chemins de Saint-Jacques de Compostelle en France".
Auvillar est labellisée "Communes Haltes - Chemins de Compostelle en France" au regard des services, des équipements et de l'accueil que la commune propose aux cheminants, randonneurs et pèlerins".
Auvillar est à la jonction entre les régions de Lomagne et de Gascogne. Elle constitue la dernière halte en Tarn-et-Garonne sur l'actuel itinéraire du Puy-en-Velay, entre Moissac et Lectoure. Sa situation sur un éperon rocheux entre coteaux et vallons offre un très beau panorama sur la vallée de la Garonne.
Espalion s’est développée sur les rives du Lot. Ses monuments furent édifiés à différentes époques, pour la plupart en grès rouge du pays. Un parchemin de l'abbaye de Conques atteste de l’existence du Pont Vieux dès 1060. L’édifice, qui a subit de nombreux remaniements, possédait autrefois trois tours, des boutiques et un pont levis. Le seigneur de Calmont y prélevait un droit de péage dont le bénéfice devait être affecté à l'entretien du pont. Il demeure aujourd'hui le lieu de passage des troupeaux transhumant vers l'Aubrac autour du 25 mai.
Saint-Côme-d'Oltest labellisée "Communes Haltes - Chemins de Compostelle en France" au regard des services, des équipements et de l'accueil que la commune propose aux cheminants, randonneurs et pèlerins".
Saint-Chély d’Aubrac est située au nord-est de l’Aveyron, à la frontière des départements du Cantal et de la Lozère. Au XIIe siècle, pour traverser les landes quasi désertes du plateau de l’Aubrac, il fallait affronter le froid et la neige, mais aussi les coquillards et les bandits qui guettaient parfois les voyageurs et les pèlerins.
L’abbaye bénédictine de Saint-Pé-de-Générès (ancien nom de Saint-Pé-de-Bigorre) fut fondée au XIe siècle par le duc Sanche de Gascogne, qui souhaitait rendre grâce d’une guérison miraculeuse. Cette abbaye, dédiée à saint Pierre (saint Pé), dépendait de Cluny et prospéra rapidement, vraisemblablement en raison de son important rôle de halte sur les routes de pèlerinage.
Située sur la voie des Piémonts, au cœur d’un territoire agricole et forestier, Montréal d’Aude empiète sur le massif boisé de la Malepère et sur la plaine du Lauragais. Le village est limité au nord par l’ancienne voie romaine d’Aquitaine, actuellement route de Bram.
Dans l’antiquité, Cessero était mentionné sur des itinéraires comme ayant un rôle de mansion, c’est à dire de gîte d’étape sur l’importante Via Domitia.
Mais la ville actuelle doit son nom à Tibérius, fils d’Hélée, gouverneur romain d’Agde. Né en 293, il se convertit à l’âge de 10 ans à la nouvelle religion chrétienne sous l’influence de son précepteur Modeste. Persécuté, il est mis à mort sous Dioclétien dans un petit bois au bord de l’Hérault, avant d’être inhumé sur les lieux mêmes.
Anglès est située à l’extrême sud-est du Tarn et constitue de nos jours une halte sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle entre la Salvetat-sur-Agout et Boissezon.
Dans la rue longeant la Poste, les marcheurs pourront observer les vestiges du mur d’enceinte et d’une de ses portes. La première église fut construite au sein de la ville fortifiée au début du XIVe siècle. Détruite en 1560 et 1579, elle fut reconstruite à la fin du XVIIe siècle et rebâtie à neuf au début du XIXe siècle. Le clocher a été édifié dans l’une des tours d’angles de la fortification.